vendredi 7 novembre 2014

Impression sur l'Ile de Ré

 31 Octobre 2014

Impressions

Séjour à Sainte Marie en Ré.

                             

Si vous aimez les îles mais pas la mer, l'île de Ré est parfaite,  comme l'île de France, on y voit pas la mer. Cette extension de la Beauce ne dispose pas du moindre relief, ni du moindre promontoire  vous permettant de voir autre chose que le clocher des églises. Des clochers raides comme des fusées, un petit côté Cap Canaveral.
L'horizon bute sur les vignes plates au couleur de cognac, des cultures proprettes puis des marais tristes, salés ou salants. Au loin des petits bois résistent au vent.
La mer je l'ai vu, morne et triste comme le bord d'un étang, se vautrant doucement dans  le marais. Je sais aussi qu'elle réserve quelques fois de mauvaises surprises.
Des engins s'empressent de consolider la côte pour protéger les riches amoureux de cette galette. Le réchauffement apporte quelques degrés supplémentaires  mais fait monter  cette mer  discrète, tout juste tolérée  à l'intérieur des petits ports  aseptisés.
Les marchés y fleurent Neuilly sur Seine et là "bobotisation". Dans les villages typiques les maisons au crépis gris lissé enserrent  des ruelles asphaltées où se promènent les familles en vélo et en Ralph Lauren


Le Marché
Les Vélos
Les Bobos

Pour ce qui est de la bicyclette, tout est prévu; ses pistes, ses voleurs, et ses encombrements de citadins, le nez au vent, respirant béatement le "Bio" sur leur bicyclette de location.
De gros ânes poilus du Poitou paissent devant les remparts de Saint Martin. Derrière,  la prison d'époque semble aussi avoir choisi son île.

Bon j'arrête mes impressions d'enfant gâté alors que j'aime plutôt la propreté et les  bourgeoises bien mises
J'ai  passé un bon weekend  de quiétude  familiale en savourant tout ce charme plat. 



                                        


                                           

mercredi 23 juillet 2014

Du bon temps

Bénédicte partie pour quinze jours avec ses copines en Corse, j'ai mis ce temps à profit pour déguster cette solitude passagère. Ne confiant à personne cette situation pour ne pas risquer maintes invitations perturbantes de cette retraite temporaire.
J'ai donc dégusté égoïstement quelques belles soirées de juin et les éclairages de mon jardin au soleil tombant . Dans la journée j'avais peaufiné l'entretien des pelouses et des massifs de fleurs arrachant,  quelques mauvaises herbes , coupant les roses fanées, sans oublier les petits traitements contre pucerons et autres. Il y'a des moments ou les jardins méritent d'être contemplé et après tout c'est aussi mon boulot aussi que j'apprécie.

                                               
                                

Sans que cela soit réellement prémédité j'ai fabriqué des pantins en contre-plaqué, grandeur nature. Pour commencer,  le gendarme Roland, brigadier un gars sérieux qui salue les invités ou les dirige dans la bonne direction, il est sous mes ordres et ne conteste jamais quelque soit la situation dans laquelle je le mets.


Ensuite, j'ai fantasmé avec Lola la danseuse, elle a le visage un peu travelos, il faudra que lui redonne un air un peu plus féminin.  Suspendue sous l'érable, au bout de son fil de pêche elle danse avec la brise elle fait des pointes et quand le vent durcit, de véritables sauts de carpe. elle enchante le jardin et à chaque tour elle montre ses belles fesses.

                                     
                   
                                               


Ma dernière création c'est Riton. Sans doute inspiré de mes frayeurs  de gamins, quand je voyais ces petits Christ accrochés dans les chambres d'antan de vielles tantes obscures et dévotes . J'étais encore moins préparé à les voir grandeur nature dans les églises. Tout cela est ressorti  avec Riton, et ses blessures encore fraîches et pansées. Un jésus plein d'espoir, à la santé retrouvée, au moins lui, il a l'air de pardonner.
Tous pantins, j'en ai encore toute une série à  faire avec leur yeux étonnés, l'air de ne pas comprendre ce qui leur arrive.... C'est la vie , la dérision, je ne sais encore qu'elle tête  aura mon président de la république, ou cette belle femme qui se prélassera sur ma pelouse ?

J'aime me laisser aller à faire n'importe quoi, n'ayant de la société plus grand chose à attendre ni trop de compte à rendre. Sortir du conformisme ou des convenances pendant ce moment court qui précède la sortie c'est cela la liberté. La vie, on est pas toujours obligé de la prendre au sérieux , enfin, moi je ne veux pas !
         
         
                                
                                    


Je continue aussi à faire mes petits dessins vite fait avec peu de couleur et sans gomme. Si ils ne sont pas bons ils sont spontanés.

Pour en revenir à cette belle semaine, une de plus , Bénédicte est rentrée bronzée et surtout de bonne humeur. Elle a fait connaissances de mes pantins  elle n'a pas trop apprécié  Riton, comme la vasque bleu Majorelle que j'ai disposée au fond du jardin. Bénédicte est conventionnelle, il en faut au moins un dans un couple et tout va bien.

Nous avons reçu nos amis et quelques cousins avec un petit homard grillé et  une  bonne côte de bœuf, c'était une excellente soirée. Mes pantins étaient tous là pour les accueillir, réactions diverses entre l'étonnement , l' amusement, la compassion et la méprise. Du coup je vais continuer.


Point  d'orgue.... Mon Paul arrive avec sa sœur, notre petite Romane, du bonheur encore du bonheur , je vous raconterai.  D'ici quelques temps. 

Bonne vacances
Jacquot


                                 


lundi 26 mai 2014

Douceur de Vivre

Photos d'actualité
 où la retraite un  printemps à cultiver.

 C'est le Printemps, je pense à mes petits enfants, bien loin, mais le progrès m'en rapproche considérablement, avec Internet,  les distances se sont recroquevillées comme la feuille de papier que je jette dans la flambée, bientôt interdite, de ma cheminée. Il est temps pour moi d'apprécier la vie, elle aussi rétrécie. Alors je laisse aller mon imagination et mes rêves comme on le fait au printemps d'une vie.
 J'ai quelques inquiétudes pour mes enfants et petits enfants et je ne suis pas certain qu'il en était de même pour mes parents où mes grands parents. Faut'il toujours se compliquer la vie par la peur du lendemain ?  Celle ci m'offre quelques temps de répits, j'en profite.
Notre pays est au bout du rouleau et m’accompagne volontiers dans une décadence dont le ne veux pas. Les roses éclatent et la jardin me passionne. Chaque jour ses changements. Les haricot lèvent, leur feuilles fragiles sortent de terre,  les salade gonflent et les tomates ont besoin de  tuteurs, comme les mauvaises herbes d'un herbicide. J'ai gardé mes réflexes de cultivateur pour cette nature que j'adore quand je la domestique, comme un bon cheval, je la caresse, mais je ne la laisse pas m’embarquer n'importe ou.
Les temps maussades sont plus propices à l'écriture, j'en profite pour inventer  ces "graphouillis" en direct du fond de moi. Quand la lumière revient je dessine. Je partage les belles journées entre le jardinage et le golf. Pour accrocs à ma liberté j'ai juste quelques responsabilités à la mairie où le hasard des élections m'a amené.
Si ma vie s’arrêtait aujourd'hui, j'aurais sans doute compris ce qu'est le bonheur et surtout qu'il existe. J'en aurais même profité. Je partage en partie ces bons moments avec ma femme, le reste du temps nous conservons l’indépendance nécessaire à nos libertés.  Ses répétitions au piano ne me dérangent pas, c'est sa vie, c' est la mienne. Nous partageons beaucoup de sensibilités communes et quelques désaccords domestiques, sel et  poivre de notre bonheur et de sa pérennité.
Ainsi je laisse dériver mes pensées au gré des courants et du temps. J'ai un peu honte d'afficher mon bonheur,  vielles réminiscence Judéo-chrétienne. Mais la misère c'est elle qui fait apprécier le bonheur, le Blanc le noir, le froid le chaud, les pleurs et les rires.
J'écoute toujours beaucoup de musique,  nous allons écouter l'orchestre Colonne à la salle Pleyel  malgré des allers- retours à Paris toujours plus difficiles. Je suis insatiable de musique classique mais éclectique, bien d'autres musiques me plaisent mais j'ai bien l'impression que le plus beau a été inventés.
Depuis toujours attiré par l'art, Je m'y laisse dériver,  il m'a fallut bientôt soixante dix années, dont quelques unes de galère, pour  laisser glisser ma barque. Mieux vaut tard que jamais.
Je fais quelques dessins que j'essaie de simplifier au maximun, sous les conseils de mon ami Alex. des esquisses où la  technique cède  place aux sentiments. Bof.


Dans le jardin j'ai installé une oeuvre moderne achetée à Brico Marché, un socle et un
pot de fleur, que j'ai peint en bleu Majorelle. J'ai eu un peu de mal avec Bénédicte mais le bidule a intégré le jardin comme un sourire, comme mes poissons volants:
  

Bien A Vous  
Jacquot



Élection europeennes

Lendemain d'élection
Faut pas rêver!
 
Pour ces élections Européennes, Comme prévu je n'ai pas voté utile, choisissant un parti embryonnaire pseudo Européen et libéral. 
Beaucoup d'autres ont désavoué nos hommes politiques en réfugiant leur mécontentement dans l'urne du " Front National " même diabolisé à outrance les Français acculés, ont montré qu'il se foutent du diable. C'était prévu.
Nos politiques de bon ton ont peur de mettre au grand jour les vrais raisons de ce vote extrême et personne n'aborde la réalité des choses.

À  ce propos, il y a quelques jour un député, de mes amis, s'ouvrait sur une commission parlementaire de réflexion sur le départ de nos jeunes à l'étranger. Et qu'il aurait à entendre quelques jeunes sur leur motivation profonde.
j'en connais au moins deux, puisque mes deux enfants travaillent à l'étranger. 
Il m'est agréable de savoir que nos parlementaires se posent la question. Je suis plus étonné qu'ils n'imaginent pas  déjà la réponse. Connaissant un peu le sujet, je lui répondrai bien, qu'ils sont partis pour ne pas voter Front National, car eux ont besoin d'espoir. Ils ne sont pas partis faire du tourisme mais pour travailler et pour réussir, c'est un acte courageux et de ce fait ce sont de bons enfants, des gens qu'il aurait fait bon garder chez nous. Mais que leur propose-t'on ? une société égalitaire où la réussite est sujet à suspicion, on leur rabâche qu'ils n'auront pas de retraite et qu'on leur rabotera leurs économies au non du dogme égalitariste... Un jeune à besoin de rêve et aussi de récompenses.
Le socialo- écolo- trotskisme gomme le rêve, et la chasse aux riches est loin d'être le bon combat pour aider le pauvre. La droite française complexée et électoraliste s'accommode de demi mesures.
Trop compliquée la France , sans espoir sans rêve.
Seule l'élite politique y trouve son compte mais les forces vives, celles qui se battent tous les jours dans leur commerce, leur petite entreprise, les bon pères de famille, les braves, les justes, tous ceux là, sont fiers du départ de leur enfants.
Devant la certitude du pouvoir publique de leur retour, oui ils reviendront, dans vingt ans, avec leur accent anglo saxon ou chinois pour montrer à leurs enfants la maison de leur jeunesse. Ils  verseront quelques larmes sur les ruines d'un vieux monde mort de ses complexes.

Le Front National n'apportera aucune solution mais ils aura au moins eu le mérite de cristalliser le mécontentement.  Les discours du  lendemain laissent  présager encore une fois que personne ne veut comprendre. Sans doute, est-il déjà trop tard. 
Allez enfants, rêver et espérer ailleurs.

Jacques pelard

dimanche 16 février 2014

Retour dans notre France chérie

Depuis huit jours j'ai réintégré mon petit village de France bien calme ou pas grand chose se passe , calme et serein. J'ai retrouvé la France telle qu'elle, mais sans ce recule qui n'en fait voir que les défauts.  Mon moral remonte et comme notre president lui aussi à fait une petite visite aux États Unis, lui aussi a vu la France de loin.
Donc tout va bien et j'écoute dorénavant les messages de notre gouvernement,  nous sommes sur la bonne voie. Avec un peu de patience, trois ans c'est rien, en 2017 tout ira mieux, la hausse du chômage aura diminué, les entrepreneurs auront compris que l'argent ne fait pas le bonheur, les enfants connaîtront tous le kamasutra par cœur version homo comprise. tous les français partagerons de bon gré leur richesse, faisant du pays l'arche de Noé et le paradis du monde, l'exclusion n'aura plus de sens, à l'exception des contestataires. Ainsi soit il.
Alors on rigole et si l'autruche se met la tête dans un trou c'est qu'elle ne s'y trouve pas si mal.

J'ai retrouvé les saisons, ces projets imposés sans lesquelles la vie est monotone, Le mauvais temps puis les beaux jours, les saisons,  au moins des changements réels. La météo et ses frasques ses inondations qui relancent la consommation, remplissent nos journaux, élancent la compassion et la solidarité. Météo éphémère qui ne se grave de toute façon que dans la tête des sinistrés.

Pourquoi se faire véritablement du souci, je suis encore en bonne santé ou presque, mes enfants ont du boulot j'ai des petits enfants auxquels le monde appartient et j'ai toujours une femme que j'aime.
Quand à ces braves politiques, après tout ils font ce qu'ils peuvent donc pas grand chose, tricotent et détricote au grès du dogme, rarement de la réalité en tous les cas  de leurs intérêt, c'est normal après tout.

J'aurai du écouter les nouvelles de Hong Kong plus que les nouvelles de France. Ils ont sans doute leur lot d'horreur, de sunammi et de crimes... 

Allez  Jacquot ici tout n'est pas noir. 
les syndicats premiers saboteurs de la nation sont  emportés par la lame de fond de la réalité économique et l'économie va comprendre l'importance de l'homme, les banquiers vont devenir d'honnêtes gens et la finance bienveillante.
Les rouges écologistes se régaleront toujours des poireaux de nos hivers réchauffés, poussés au déversement de leurs pots de chambre.
Les couples homosexuels seront sur liste d'attente pour adopter les enfants battus des couples heteros, une belle revanche.
Les religions se mettront toutes d'accord pour respecter la croyance de l'autre et pour inviter leurs ouailles à limiter les naissances pour vivre mieux.
La planète se refroidira pour qu'il y ait toujours de la bonne neige pour les jeux olympiques d'hiver. Le niveau de la mer baissera pour agrandir les plages.
Et puis nous vivrons mille ans et  ce qui reste des syndicats sera d'accord pour repousser l'âge de la retraite a soixante six ans.
Allez ça va le faire.

jeudi 6 février 2014

Impressions rageuses

Mes Impressions rageuses de la France vue de Hong Kong.

Je n'ai pas donné beaucoup de nouvelles de mon séjour à Hon Kong. Je ne veux pas réécrire toujours la même chose. Il n'y a plus l'effet de surprise, au quatrième séjour la spontanéité et l'émotions sont émoussées.  Bien sur, Hong Kong change tous les jours je dirai de minutes en minutes, mais à quoi bon  revenir sur  ce  contraste avec notre société française. Je ne dis pas qu'ici ce soit le paradis, il n'existe pas. Ici il y a de la motivation donc du travail.

En fait,  j'ai trop écouté les nouvelles de France. J'ai relu le voyage au bout de la nuit de Céline et ce n'est pas pour te faire vraiment rigoler.
J'aurai donc plus à dire sur la décadence de notre pays que sur les performances de l'économie de Hong Kong.
 J'ai surtout envie de dénoncer le merdier dans lequel je vais me retrouver dans deux jours. Je sais, mon désarroi ne sert à rien. Quoi qu'on fasse il est trop tard et comme on dit les carottes sont cuites. La France pourrit sur pied. A vouloir conserver sa spécificité, à se croire plus forte que les autres, à ne pas comprendre que le farniente a une fin et qu'elle ne pèse qu'au  travers des discours usés et des mensonges de nos politiques. La France n'est plus un exemple. Il lui faut arrêter de se regarder le nombril, le monde a changé.
Le peuple français est  devenu un infirme dont la rééducation est devenue impossible. Les derniers combattants se sauvent. Plus de rêve, plus de projet, plus de chef, seulement du chacun pour soi et de la  jalousie prônée par l'enseignement du nivellement et du mépris de la réussite.
Quand la majorité d'un peuple s'accommode de cet état d'esprit, il est foutu.
Quand un peuple ne vit que de la promesse de l'égalité, de l'assistance et des remords, il est foutu.
Comment le chef d'état peut´il s'en remettre aux entreprises en détestant les entrepreneurs et particulièrement ses champions, ceux qui réussissent. Il ne faut pas manquer d'air. 
Chaque jour apporte  son poids d'inepties. Au bon peuple on balance des raclures à bouffer, le mariage gay, la famille, le racisme, les horaires scolaires et oui, ça les occupe ces cons, comme ça occupe cette conne opposition. De toutes façons  leur sort est lié, ils n'aurons ni l'un ni l'autre du boulot. La France ils en rongent les os et bientôt plus rien.

Plus grave encore, même si les français changent de politique, l'alternance ne fera une meilleure place qu'aux élus  de l'autre bord, mais hélas certainement pas aux français. Qui aura, parmi eux, le courage d'y changer quelque chose puisqu'ils ne l'ont pas fait lorsqu'ils en avait la possibilité.
Alors j'en reviens toujours à la  conclusion que la France n'est pas un pays réformateur. la France se révolte de temps en temps et nous n'en sommes pas loin. Un Grand corps malade auquel aucun traitement ne fait d'effet, c'est bientôt un mort. Nos politiques s'emploient donc à cacher la vérité au bon peuple pour continuer à toucher leurs honoraires alors que l'honnêteté serait de lui prodiguer les soins palliatifs.

J'aimerai tellement me tromper. Comme un coureur à pied qui doit s'entraîner régulièrement car l'effort fait mal, faute d'habitude. Y a t'il un de nos dirigeants capable de nous remettre à l'entraînement. Je le pense pas. Il faudra attendre  que la situation s'aggrave pour que la réaction vienne du fond, de la nécessité, plus encore de la survie. 
Alors, faute de courage, il est probable que la lutte des classes verra  la victoire du prolétariat et de son obligatoire dictature. 

Voilà mes dernières impressions, venues du contraste entre Hong Kong  et les informations de France. 
Je ne peux pas vous faire rigoler tout le temps.
Rassurez moi !

Bien à vous tous. 

Jacquot.









  



 

jeudi 16 janvier 2014

Hong Kong c'est reparti



Hong Kong 2014

Arrivé depuis le 11 Janvier
Aujourd'hui 16 Janvier ensoleillé et brumeux 18°

Bien qu'étant de retour à Hong Kong, HK pour les intimes, je ne vous en dirais pas plus concernant mes impressions sur cette ville, j'ai tout dit, j'ai toujours le même étonnement. Il vous suffit pour cela de vous reporter sur mes commentaire antérieurs.
Ici, cette année, le changement c'est la naissance de notre petite fille, Romane. Une naissance familiale reste un événement et  une émotion à partager même si la formule est aussi simple que " la mère et l'enfant vont bien"



Nous y revoilà sans surprise mais toujours avec émotion. Émotion de faire la connaissance de notre petite fille Romane née le 4 janvier de l' année du serpent. Émotion de retrouver le reste de la famille, notre Paul. Émotion de retrouver ce pays et la constance de son  fantastique développement.

Avec les deux enfants l'organisation des sorties est un peu compliquée. Heureusement du balcon, (58 eme étages) je ne me lasse   pas de regarder les travaux, à différents stades de la construction de divers immeubles et la réalisation d'une île artificielle 150 mètres plus bas.

                                 Mon spectacle


 Il va sans  dire que je tourne un peu en rond.

 Mon Golf

 J'ai déjà jouer au golf, un petit golf de 9 trous  avec deux par 4 et le reste en par 3. Situé en bout des pistes du plus grand aéroport du monde, il vaut mieux supporter le bruit et les avions.
J'ai relevé la tête autant de fois qu'il a eu de décollages, toujours fasciné par ces masses qui s'arrachent du sol pour des destinations inconnues et lointaines.
Ma partie, avec un couple de Hong-Kongais a duré 4 heures, j'ai donc dû regarder le ciel au moins 200 fois.Toujours avec admiration. Et ma foi mes partenaires m'ont qualifié de pro. Excessifs bien sur.

Mon Président.

Pas encore remis du décalage horaire, j'ai écouté notre Président lors de sa conférence de presse. Je trouve qu'il est enfin du niveau des grands politiques de notre pays. Quelque soit le virage pris ce n'est qu'un beau discours. Bravo d'avoir tenu pendant 2 h 30.
Peut être gagnera t il sa prochaine élection, donc Bravo c'est un champion.
Je crois qu'il faut analyser la politique de cette façon, comme un véritable sport avec ses fans, ses coatchs. Que le meilleur gagne et vive sa carrière.
En ce qui concerne vive la France, c'est un peu plus compliqué et la match est plus sérieux, il opposera les patrons à une poignée de syndicalistes, un point c'est tout. A nos politiques de tirer les marrons du feu pour leur futures élections.
Un jour trouverons nous un autre système redonnant aux politiques leur véritable rôle ?

Mes dessins.

Pour le gros flemmard que je suis j'ai trouvé une application pour mon IPad qui me permet de dessiner sans me salir les doigts, sans mettre les résidus de gomme sur le tapis ni même acheter de peintures ou crayons divers. Je vous conseille donc " mybrushes"
j'apprends donc à aller à l'essentiel et laisser du bout du doigt s'imprimer mon talent... Non je rigole... Mes délires. À vous de juger de ce retour à l'enfance, précoce.

Quelques exemples pour rire

   A tres bientot

                                
                                       
Bouleaux bleus
Le près

Sammanah

La grilleLe fond du jardin aux bouleaux bleus
La plage