Chronique du 27 février 2013
La France Debout sur les freins. Enfin, les 10 % qui nous gouvernent.
Faut il encore nous parler de croissance sans nous parler de courage. La peur et la dérobade régissent la France depuis 1968.
Est-il réaliste de parler de croissance dans un pays ou l'on admet (ou il est de bon ton d'admettre) et ou l'on tolère, je dirai même plus, où l'on organise le freinage de la croissance. Le contraire demanderait trop de courage
Ces quelques exemples de ce que supporte notre démocratie sont révélateurs.
Un syndicalisme révolutionnaire
1) la CGT cette émanation du parti communiste, révolutionnaire, sous couvert de protection des salariés, s emploie a déstabiliser le système social démocrate qui inspire la plupart de nos hommes politiques au pouvoir depuis la dernière guerre. Ainsi la France démocrate tolère que ces révolutionnaires brisent ouvertement tout ou partie de son économie.
2) La CGT, avec une représentativité de moins de 5% des salariés, contrôle les secteurs les plus importants de notre industrie EDF, la SNCF, les ports qu'elle a déjà coulé mais plus encore l'éducation nationale et de nombreux secteurs de la fonction publique. La CGT à créé des déséquilibres importants entre les travailleurs du publique et du privé
3) La CGT vise un autre système que celui de la sociale démocratie, s'appuyant sur les faiblesse de celle ci pour saborder notre industrie et notre économie. Un mal admis et toléré tous partis confondus.
4) Évidement cela est plus facile de déloger les islamistes de Bamako que la CGT à Amiens. En fait, lesquels nous posent le plus de problème?
Des écologistes
Reconnus pour faire partie des gouvernement de droite et encore plus de gauche, eux aussi œuvrent, à leur manière, à la décroissance. Ils se mêlent volontiers aux forces révolutionnaires dont ils sont la branche douce assurant la déstabilisation du pays.
1) Ils sont contre toute forme de production d'énergie, du nucléaire en passant par le gaz de schiste, remettant en cause le reste de l'industrie.
2) Ils sont contre les progrès en matière de productivité OGM et phyto pharmacie.
3) Ils sont contre la recherche dans toutes ses formes accusant les laboratoires de tous les maux, la recherche engendrant le profit...
4) ils prêchent ouvertement pour un retour en arrière. ils sont comme la CGT organisés en mafia, introduits dans tous les services névralgiques du pays ; éducation national, recherche et media.
Ces gens représentent tous confondus moins de 10% des français.
Les médias.
Ils sont sacrés, ils en jouent, ils en vivent. Ils détiennent le pouvoir et tiennent les politique par les c......... Donneurs de leçons, faisant la charité avec l'argent des autres,ils manipulent l'opinion dans leur intérêt .
Eux ont trouvé grâce à ces mouvement révolutionnaires matière à communiquer et mettre en avant une certaine supériorité intellectuelle bien prisée de l'intelligentsia parisienne. Le prix du poulet bio n'ayant pas d'incidence sur leur trésorerie. En fait l'écologie est de bon ton, d'autan que le politique en joue aussi. Les médias ont mis les politiques à leur botte. Iĺ y a interdépendance, le mieux que les politiques puisent en obtenir étant la complicité.
les médias culpabilisent donc la majorité des français aux travers de leurs entreprises les engageant à renoncer aux valeurs qui avaient fait de la France un grand pays.
Les politiques
Qu'on ne doit en aucun cas considérer comme des saints au service de la nation. Mais des gens qui ont choisi cette carrière comme vecteur de réussite personnelle et par goût du pouvoir, de droite comme de gauche. Jusque là rien de plus normal. Mais à partir de là, tous les moyens sont bons. Les politiques sont avant tout gestionnaires de leur ego et par voies de conséquences, de leur réélection pour cela ils commettent diverses actions valorisantes avec des capitaux tombés de nos poches, jamais du ciel. Chacun grattant au grès de ses relations les subventions nécessaires sans réellement savoir si l'intendance suit.
Quid de leur électorat et du bon peuple ?
Les élections sont des comédies organisées avec le concours des média pour obtenir ou garder le pouvoir, pour obtenir ou conserver son travail, un salaire décent, même si cela ne transpire pas toujours, je ne peux me convaincre que ces politiques n'ont pas de famille à nourrir. À partir de là les leçons de morale ne peuvent être données qu'avec humilité.
Le système est peut être le meilleur! Mais il faut reconnaître qu'il engendre le laxisme, la lâcheté voire le parjure.
Si l'intérêt du pays avait réellement été pris en compte, sans les visions à court terme engendrées par des élections garde manger, nous n'en serions pas là. Les idées et compromis passe-partout ont gagné sur le réalisme et l'efficacité.
Le "oui" à toute les minorités devient alors un camouflet à la majorité. Une majorité abusée par les politiques et les médias.
Alors. On appelle un chat,un chat
On arrête de nous bassiner avec le mot croissance on change de système on nous explique franchement que cela n'est plus possible et nous revenons à une civilisation arbustive et égalitaire. Le grand courant de pensée CGToECOLO prévaut, la France fait office de pionnier dans ce chemin du bonheur. Plus de capitalisme ni d'industrie, une seule caste au pouvoir, le grand ordre du média suprême agitant son pantin politique.
Une France aux champs et heureuse.
Comme nous avons tous la mémoire courte, avons nous sans doute oublié Staline, Mao et le meilleur Pol Pot formé au sein du parti communiste français. Le seul à avoir réussit le compromis CGT-ÉCOLOS En renvoyant les gens des villes à la campagne et les opposants au bonheur au cachot ou au paradis céleste. la France semble partie pour refaire, et qui sait réussir, l'expérience.
Ou alors nous relevons nos manches nous n'avons plus peur de notre ombre, notre place sera difficile à conserver mais au moins nous nous serons bagarré. Le progrès, le risque et le courage y auront a nouveau leur place. la réussite ne sera plus douteuse et chacun en profitera à sa juste valeur . mais le courage semble une denrée rare cela s'apprend tout petit et nécessite beaucoup d'entraînement , il faut donc des entraîneurs et il n'y en plus. Dommage ! Si on ne peut plus compter sur les politiques, alors, qui ?...
Puissent ils m'entendre.
Jacques Pelard
